Transcription de l'épisode :

Bonjour! Aujourd’hui, je vous apporte un épisode différent. Aujourd’hui, je vais vous parler de mon parcours – celui qui m’a amené à ce que je fais aujourd’hui et à l’aventure Papa PhD.

Votre doctorat est littéralement une aventure – c’est un voyage, une expédition dans l’inconnu. Et certains des plus grands enseignements et souvenirs de vos études graduées que vous porterez avec vous tout au long de votre vie seront les obstacles que vous aurez trouvés et surmontés en cours de route. Et c’est l’un des messages les plus importants que j’aimerais partager avec vous aujourd’hui.

Tout au long de cet épisode, je vais vous raconter mon parcours professionnel jusqu’à aujourd’hui et les leçons que j’ai tirées de mon doctorat – Les bons coups et les erreurs.

Et si vous restez jusqu’à la fin de l’épisode, j’ai préparé pour vous un guide où je résume les principales leçons que j’ai apprises. Un ensemble de stratégies qui vous aideront à passer à travers l’expérience du doctorat sans trop de difficultés inutiles et à préparer à votre transition vers l’espace professionnel non universitaire ou vers quoi que ce soit qui suivra vos études graduées.

Je vais également essayer de partager des conseils sur comment planifier, comment préparer, dès le premier jour, de façon très intentionnelle, sa vie professionnelle, quelle que soit la forme qu’elle prendra.

Encore une fois, je partagerai un lien vers ce guide à la fin de l’épisode, donc restez avec moi !

Maintenant, pour mon histoire. Vous finirez par voir que j’ai frappé des murs en cours de route, que j’ai rencontré des obstacles, mais j’ai tiré des leçons de toutes ces difficultés. De plus, ayant maintenant interviewé plus de 30 invités sur Papa PhD, j’ai également essayé de rassembler certains de leurs meilleurs conseils et de les distiller dans ce document que je vais partager à la fin de l’épisode.

Donc – Mon parcours universitaire a commencé au Portugal. En sortant du lycée, j’avais deux possibilités – deux choses que j’aimais et pour lesquelles j’étais doué : c’était les langues et les sciences naturelles.

J’ai suivi la voie scientifique et j’ai fait une licence en microbiologie et en génétique à l’université de Lisbonne. Après ma licence, je suis resté au laboratoire où j’avais réalisé mon projet de fin d’études pendant deux ans au long desquels j’ai participé comme instructeur à différents programmes de formation offerts et où j’ai travaillé avec des bourses de recherche.

Après ces deux années, j’ai eu l’occasion de participer à un programme de l’agence gouvernementale INFARMED – l’agence nationale des médicaments au Portugal. À l’époque, les médicaments génériques allaient être introduits au Portugal et j’ai eu le privilège de faire partie d’une petite équipe de diplômés qui ont été formés et envoyés dans des centres médicaux à travers le pays pour expliquer ce qu’étaient ces « génériques » à la communauté médicale, afin de dissiper les inquiétudes ou les doutes qu’ils avaient à propos de la qualité et de la sécurité de ces médicaments.

Ça a été une année très formatrice : on nous a appris à parler en public, à présenter les données et à discuter des objections potentielles de notre public cible. Toutes ces compétences m’ont été très utiles par la suite. Et c’était ma première expérience professionnelle en dehors du laboratoire.

Après un an comme représentant d’INFARMED, le gouvernement a changé et le programme a été fermé.

Après cela, grâce aux contacts que j’avais établis pendant cette année, j’ai eu la chance d’être invité à donner des cours en laboratoire dans une université privée de Lisbonne – une école qui offrait spécifiquement de la formation pour les personnes qui voulaient faire carrière dans les domaines techniques du secteur de la santé. C’était une expérience formidable. J’ai vraiment, vraiment aimé enseigner. Mais ce qui s’est passé, c’est qu’en regardant les professeurs, je me suis vite dit que « j’aimerais vraiment enseigner à leur niveau ». Et qu’est-ce qu’il fallait pour enseigner à ce niveau ? Eh bien, il fallait avoir un doctorat.

Donc, cinq ans après avoir terminé ma licence, j’ai décidé de me lancer dans l’aventure du doctorat. J’ai passé des entretiens dans deux programmes doctoraux et j’ai été accepté dans le programme BEB offert, encore aujourd’hui, par le Centre de neuroscience et de biologie cellulaire de l’université de Coimbra, un programme avec une forte composante en neuroscience.

J’ai fait partie de la cohorte de 2003.

Nous étions 12 nouveaux doctorants dans cette cohorte. Il y a eu une première année de séminaires – une année entière à suivre des séminaires sur différents sujets avec des chercheurs venus de partout dans le monde. Et puis, après cette première année, on nous a dit : « Eh bien maintenant, vous devez choisir où vous allez faire vos recherches doctorales ».

Je voulais travailler en biologie cellulaire/développement, et j’ai fini par visiter un laboratoire au King’s College à Londres, un laboratoire à l’EMBL, à Heidelberg, et deux laboratoires à l’Université McGill, ici à Montréal. Vous savez donc en quelque sorte où s’en va l’histoire. J’ai choisi de venir à Montréal, à l’Institut neurologique de Montréal, pour travailler sur le développement et la biologie cellulaire dans l’épithélium olfactif, en étudiant la signalisation et la différenciation cellulaire dans les différentes lignées de ce tissu sensoriel.

Alors – Si vous vous préparez à débuter un doctorat ou à choisir un laboratoire, voici un conseil que je peux vous donner tout de suite : au moment de prendre votre décision, essayez d’évaluer combien la culture du laboratoire ou de l’institution vous convient, de vous imaginer la façon dont vous allez vous intégrer dans le département et dans le groupe de recherche dans lequel vous allez travailler. C’est très important parce que ce sera votre famille pendant quatre, cinq, six, sept ans, selon l’endroit où vous allez faire votre doctorat. Essayez aussi d’évaluer – et la meilleure façon de le faire est de parler avec les anciens étudiants – la qualité du mentorat et de la gestion des étudiants, autant au niveau du laboratoire qu’au niveau de l’institution. Quelles sont les structures existantes ? Combien satisfaits les anciens élèves se sentent de l’expérience qu’ils ont vécue pendant leurs études graduées, dans ce cadre. De plus, si vous êtes en mesure d’entrer en contact avec les anciens élèves des laboratoires que vous considérez, essayez de voir où ils en sont professionnellement. C’est important pour deux raisons : leur situation dans le milieu universitaire est importante, le type de recherche qu’ils font, le type de succès qu’ils ont eu après avoir quitté le laboratoire et terminé, mais ils ne sont peut-être plus dans le milieu universitaire et l’une des choses très importantes – et c’est l’un des objectifs de Papa PhD – c’est d’apprendre quels différentes cheminements les personnes qui sortent du milieu universitaire finissent par avoir.

Il est donc très important d’aller vers les anciens étudiants. Ils peuvent vous apporter une foule d’informations et de points de vue différents qui vous seront très, très utiles dans votre exploration de carrière.

Donc, j’ai choisi McGill et j’ai été étudiant chercheur invité au Neuro de 2004 à 2009, lorsque j’ai remis ma thèse. Mon expérience à McGill et au Neuro a été formidable en termes de ce qui était offert aux étudiants gradués : clubs de lecture, possibilités de présenter vos données à d’autres groupes de l’institut, et aussi, le corps étudiant était vraiment, vraiment sympa. Il y avait beaucoup d’activités, de sports, de ligues intra-murales. C’était donc un environnement vraiment génial.

Cela dit, éventuellement, j’ai eu des difficultés, surtout faute de préparation adéquate de ma part. Et un des obstacles qui m’a le plus affecté, c’est que j’avais un statut d’étudiant chercheur invité, et que j’avais une bourse du Portugal, qui était de quatre ans. Il n’y avait pas moyen de la prolonger, et en tant qu’étudiant chercheur invité, je n’avais pas le droit à du financement, ici.

Après, les premiers projets sur lesquels nous avons décidé que je travaillerais n’ont pas fonctionné comme prévu. J’ai donc perdu un an, presque deux ans, à obtenir des données qui sont allées à la poubelle. Donc, deux ans pour commencer quelque chose de nouveau, ce n’était pas beaucoup et, dans mon cas, il me fallait une souris mutante qui réponde à ma question particulière. Et la souris que nous avions n’était pas parfaite. Donc j’ai fini par présenter ma thèse sans aucun article publié. Conséquence directe : je n’allais pas être professeur – j’allais devoir suivre la voie non académique.

Avant de vous dire comment je m’y suis pris et ce qui s’est passé ensuite, je vais vous dire que six ans après ma soutenance, qui a eu lieu en 2010, donc en 2016, j’ai reçu un courriel de Development – le journal scientifique – disant que j’étais co-auteur d’un article et qu’ils avaient besoin que je m’inscrive etc, etc. J’ai pris contact avec mon superviseur de thèse qui m’a dit qu’il n’y avait pas d’erreur – l’article scientifique qui découlait des conclusions de ma thèse avait été soumis et allait être publié. C’était un moment émouvant pour moi, même six ans plus tard – c’était la confirmation que le travail que j’avais fait, l’hypothèse que j’avais posée et défendue était valable et ce, suffisamment pour être publiée dans une revue de haut niveau. C’était un bon moment. Et c’était un moment pour reprendre contact avec mon superviseur et partager mes émotions du moment, mon bonheur par rapport à ce qui venait d’arriver. Je suis toujours reconnaissant qu’il ait choisi de me faire cette surprise.

Un point que j’aimerais faire, ici, est que les obstacles et les difficultés font partie de la vie. Ils vous apprennent des choses, ils vous apprennent des choses sur vous-même, et ils vous font grandir. Donc, si vous trouvez en vous la force de retourner en arrière et de montrer votre gratitude aux personnes qui étaient là et qui, à un certain moment, vous avez peut-être blâmé pour telle ou telle difficulté ou mauvaise situation dans votre vie, vous verrez que c’est un exercice très enrichissant et que cela vous fera grandir encore plus.

Maintenant, qu’est-ce qui s’est passé après ? Entre la remise de ma thèse et la soutenance, j’ai commencé à parcourir mon réseau pour trouver des opportunités et j’ai participé à des salons de l’emploi – tout ce que mon institut et l’Université McGill proposaient. J’ai commencé à discuter de projets d’entreprise autour de la communication scientifique avec des collègues et, finalement, j’ai trouvé un emploi comme tuteur dans un programme d’enseignement des sciences à distance. Pendant ce laps de temps, j’ai découvert une agence de rédaction médicale ici, à Montréal, qui recrutait activement des diplômés de McGill. Et j’avais des contacts dans cette entreprise – des gens qui venaient de l’institut où j’avais fait mes recherches. J’ai pris contact, j’ai appris ce qu’était que la rédaction médicale et, finalement, une de mes ex-collègues a passé mon CV aux ressources humaines. J’ai eu un premier entretien, puis un deuxième, et j’ai décroché mon premier emploi à plein temps après mon doctorat.

C’était ma première expérience dans la culture d’entreprise nord-américaine – c’était très intéressant, encore une fois, très formateur. Travailler dans cette entreprise a été une grande école pour moi. Ils avaient un système de formation à l’interne très solide. J’ai eu de la formation continue tout au long des presque cinq années que j’ai passées là-bas : sur comment écrire, sur les différents aspects du travail de rédacteur médical.

Il y avait des possibilités d’évolution de carrière au sein de la compagnie, ce qui, encore une fois, était très intéressant, et, aussi, il y avait la possibilité d’évoluer latéralement au sein de la compagnie. Vous pouviez donc commencer comme rédacteur médical et devenir réviseur médical, ou, éventuellement, si la gestion de projet était votre truc, vous pouviez commencer comme rédacteur médical et devenir chargé de projet.

Les cinq années passées dans cette entreprise m’ont donc beaucoup appris. Et, surtout, j’apprécie vraiment les efforts qui étaient déployés pour nous former parce qu’ils recrutaient activement des doctorants, et ils avaient tout un système d’intégration des doctorants, leur enseignant le style d’écriture le mieux adapté au type de contenu qu’ils produisaient.

Ainsi, ils nous apprenaient à adapter notre discours académique et à écrire pour un public qui, pour la plupart, était composé de représentants de ventes de sociétés pharmaceutiques, dans le contexte du lancement de médicaments ou de nouvelles indications de médicaments… Il s’agissait d’écrire et de préparer du matériel pour apprendre aux représentants à connaître leur produit, à connaître les compétiteurs des traitements, l’économie du médicament, aussi. Et il y avait aussi une partie qui me plaisait davantage, qui était la physiopathologie de la maladie – toute la biologie qui la sous-tendait. Donc, encore une fois, presque cinq ans où j’ai beaucoup appris.

Mais finalement, j’ai eu l’occasion de mettre en pratique une de mes passions et c’était ma passion pour les langues. Je connaissais une chargée de projet dans une entreprise de formation médicale continue qui avait besoin d’un traducteur. J’ai donc quitté mon poste de rédacteur médical et je suis parti en solo traduire différents documents de formation médicale continue. J’aime vraiment beaucoup la traduction médicale et scientifique et le travail dans ce domaine, et finalement, je suis retourné aux études et j’ai obtenu un certificat en traduction à l’Université McGill, à l’École d’éducation permanente, parce que je voulais apprendre la théorie derrière la traduction. Et j’ai suivi des cours de linguistique, de terminologie, de stylistique comparative, de technologies de la traduction. Ce qui était intéressant, aussi, avec ce certificat, c’est qu’à la fin, il y avait un stage où, si on était sélectionné, on nous demandait de traduire de l’anglais vers le français – un vrai article à paraître dans une publication du domaine de l’enseignement supérieur.

En tant que fournisseur de services linguistiques, j’aime toucher à des projets de nature variée : une grande partie de mon travail concerne des projets de traduction dans le domaine pharmaceutique, des appareils médicaux ou de la formation médicale continue, mais j’ai aussi des projets en rédaction médicale, en transcription audio et vidéo et en gestion de projets de traduction.

Parce que je suis, en quelque sorte, un pigiste, un freelance – je travaille surtout seul. Et il y a des avantages et des inconvénients à ce modèle.

Lorsque vous envisagez une carrière, pensez à votre personnalité et à ce qui vous convient le mieux. Dans mon cas, ce que j’aime vraiment du mode freelance, c’est que je gère mon propre temps, je choisis les projets sur lesquels je travaille et, dans mon cas particulier, je peux vraiment être très disponible pour mes enfants. Mais il y a des inconvénients. Les inconvénients, ce sont les hauts et les bas dans les contrats. Quand vous êtes indépendant, il y a parfois des accalmies, parfois une avalanche, et vous devez apprendre à gérer cela et à planifier en conséquence. L’autre inconvénient est la rotation des clients : certains vont et viennent, d’autres restent… Encore une fois, c’est quelque chose qui arrive et que vous devez être prêt à gérer.

C’est donc ce que je fais principalement maintenant.

Mais la dernière chose que j’ai faite en tant que projet a été de lancer Papa PhD – de lancer le podcast que vous écoutez maintenant.

Et sur Papa PhD, je présente des personnes qui ont tracé leur propre parcours après leur doctorat, leur maîtrise ou leur post-doctorat, et je les laisse partager leur parcours universitaire, les habitudes ou les stratégies gagnantes qui les ont aidées tout au long de leur parcours, et la façon dont elles ont nourri des intérêts spécifiques vers lesquels elles ont fini par pivoter ou lesquels elles ont fusionné dans leur carrière académique. Et c’est mon objectif : amener de nouvelles personnes et de nouvelles histoires chaque semaine…

Jusqu’à présent, j’ai reçu 35 invités qui sont venus du monde des neurosciences, de l’éducation, de la recherche sur le cancer, des études de terrain, certains font encore leur doctorat. Donc beaucoup de domaines et de profils différents. Ils travaillent maintenant dans des start-ups en biotechnologie, certains sont des chercheurs qui font beaucoup de vulgarisation scientifique, d’autres font du conseil, d’autres encore sont dans la communication scientifique, dans le domaine pharmaceutique…

J’essaie donc de présenter le groupe de personnes le plus diversifié possible pour vous faire comprendre que presque tout est possible après l’obtention de votre diplôme, en ce qui a trait au développement de votre carrière. Cela dépend vraiment de votre personnalité, de vos valeurs, de vos intérêts. À l’issue de votre diplôme, vous possédez un ensemble de compétences qui vous permettront de mener à bien n’importe quel projet dans lequel vous vous lancez. C’est le message que je veux partager avec vous chaque semaine.

Et c’est tout. C’est mon voyage, c’est là où je suis aujourd’hui. J’ai ce travail dans les services linguistiques et j’ai maintenant cette nouvelle passion qui consiste à faire venir à la scène des personnes qui ont des carrières différentes, des parcours différents, des points de vue différents et des leçons différentes qu’elles ont apprises au cours de leur parcours. Et cette année, je vais aussi présenter un type d’épisode différent – des épisodes thématiques – des épisodes avec des spécialistes au long desquels nous allons parler d’aspects spécifiques de l’expérience des études graduées, que ce soit la santé mentale, le développement des compétences, la nutrition, la vie extracurriculaire… Je travaille vraiment dur pour vous apporter des invités qui vont pouvoir partager des conseils axés sur des questions spécifiques en ce moment… Je vous tiendrai au courant!

J’avais mentionné en début d’épisode que j’allais partager avec vous une ressource, un guide basé sur les leçons que m’ont enseignées mon doctorat et mes invités. Alors voilà : si vous envisagez de commencer un doctorat, ou si vous êtes en cours de route, ou si vous le terminez et pensez à ce qui viendra après et que vous avez besoin d’orientation, allez sur PapaPhD.com/Guidedoctorat, et téléchargez “Boîte à outils pour les études doctorales – Stratégies pour trouver l’équilibre”. C’est avec plaisir que je partage ce guide avec vous, en espérant qu’il vous aidera dans votre parcours.

Et avant la fin de l’épisode, je tiens vraiment à vous remercier d’être à l’écoute. C’est vraiment, vraiment apprécié. En voyant tous les téléchargements et en voyant que des gens écoutent partout dans le monde, vous ne pouvez pas imaginer à quel point cela me rend heureux et à quel point je suis content d’avoir lancé ce projet. Alors, merci énormément!

Finalement, si vous voulez aider le podcast, il y a deux choses simples que vous pouvez faire : premièrement, partagez un épisode que vous aimez vraiment avec un ami ou un collègue. C’est une excellente façon d’aider et de faire passer le message. Deuxièmement, si vous utilisez une application qui permet de laisser un commentaire sur un épisode ou d’évaluer le podcast, faites-le. Vos étoiles et vos commentaires aideront d’autres auditeurs à trouver le podcast et à se joindre à l’aventure. Et cela me donne aussi la possibilité d’ouvrir un dialogue avec vous tous, ce que j’apprécierais beaucoup.

Alors merci encore, bonne écoute, et au prochain épisode !

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